il y a longtemps...

Je me rappele encore de toi, assis à côté de moi, avec tes culottes et ta t-shirt blanche, et ces mains qui ont touché la terre tous les jours, avec les ongles parfaitement découpés, et tes yeux, comme ils étaient bons... Je croi qu'ils sont tiens encore. ton sourire a toujours été discret, et ton réspiration était toujours lente et tu pensais très bien avant dire quelque chose. je me souviens de la mathématique de ton cops, comment il était robuste, comment tu étais gentil. Ces écrits ne sont pas d'amour - je t'ai jamais écrit une lettre d'amour, ou tu as considéré celle message d'adieu comme une de ces-là? Pourtant, j'aimé passer du temps avec toi a cette époque - j'aimais ta maturité et, au même temps, ton respect pour les espoirs et expectatifs de tes parents qui t'a fait cacher le cigarette, à l'âge de ving-cinq ans, juste parce que je passais dans la rue, il n'y avait pas de l'illumination quel soir, comme à tous les autres à ce fin du monde. Et oui, je me souviens de toi, assis à côté de moi, et tu disais que j'était tellement mauvaise quand je pleurais comme ça... Tu devrais avoir fait quelque chose pour le rendre possible, même maintenent, que je suis à ans-distance de cela, même maintenent, que le sentiment principale est déjà mort, et tout qui rest est la nostalgie et la mélancolie, je souhaitais que tu aurais fait quelque chose. Je souhaite qu'il aurais été tu, je continuerais à te télephoner, je continuerais a te souvenir avec tendresse, vous l'aurais fait de cette façon. Peut-être que je  t'écrirais des lettres, pas lettres d'amour, mais des lettres - peut-être que dans ma vie antérieure cela était le mieux: moi a écrire des lettres a quelqu'un que je manqué. Quelqu'un qui m'aurais fait le manquer au point qu'écrire des lettres serais le meilleure partie de mes jours. Je souhaite que tu m'aurais fait un bisous à ce temps, il aurais été beau, tu n'est pas d'accord? Quel beau roman... la différence de nos hauteurs, la différence de la texture de nos peaux, près de toi je serais douce et fragile, tu serais une pierre pour moi, une vielle montagne, saufe et sage.Je crois que toute ton intelligence coulait aux sciences et aux maths, mais je pense que nos aurions eu des bonnes discussions. Encore une fois, tu n'est pas d'accord? Je voulais vraiment te voir bientôt, même à partir d'un télescope, maintenent que tu es marié - mes amours passés ont commencé a se marier! - je voudrais voir tes enfants, je sais que tu l'auras. J'éspere qu'ils héritent ta douceur, ta patience et ton intelligence pour les sciences et les maths, ton optimisme et ta humilité, toujour avec des gestes doux. Peut-être que j'aie t'aimé un jour. Si je n'aurais pas t'aimé, porquoi je te respecterais quand je méprise la grande partie de l'humanité?