lui l'a dit qu'elle ne devrait changer jamais. lui a dit que ses cheveux étaient uniques, personne les portait comme ça. il l'a dit qu'elle écoutait des chansons étranges, mais un jour quelqu'un les donnerait le valeur juste. il a parlé sur les matins, quand-elle avait un humeur térrible. Un jour, ça ferait quelqu'un rire au matin. Il a parlé sur leur idéologies, difficiles d'accepter, les utopies, les anarchies, la liberté. Personne la comprenait, personne le sentait du même mode. Les jours qu'elle a déclaré perdus, les chagrins, qu'elle a dit que ne finiraient pas, les films que l'a mis a sourrir ou a pleurer. Pour finir, il l'a dit: tu sais que, un jour, quelqu'un viendra pour t'apporter la joié. Quelqu'un saura, comme moi, qu'est qu'il faut pour te mettre a sourrir. quand ce jour arriver, tu ne sentiras pas ma faut. Et elle a pensé, justement, que si il savait tout ça, et n'avait pas veuille d'y rester, si il sentirait tout ça... et il ne l'aimait pas... qui, un jour, justement, qui l'aimerait?
5 Outubro 2010
Nenhum comentário:
Postar um comentário